Compte-rendu 4 : samedi 18 janvier 2014

(Thierry, Marc, Richard, Jean-Marie, Jean-Pierre, Camille, Maxime, Louis)

Équipe un peu réduite, mais on s’en tire. Pour la semaine prochaine, on compte sur les jeunes !

On officie aujourd’hui au chalet, à la Haute-Baive, chez Dominique et Thierry.

On réussit à reculer la benne dans la trouée, entre les sapins. Dans le courant de la journée, on élargira cette trouée en coupant l’arbre gênant.

Toute la journée, on tronçonne, on coupe, on ébranche, on charge, on sue.

Une benne le matin, une benne l’après-midi.

A midi, nos hôtes nous servent une délicieuse soupe aux pois, avec des lardons ; avec chopes ou vin blanc. Jean-Luc vient faire quelques photos … de la pause !

Suite à l’échange de voitures, on ne trouve plus la bouteille de pecket ! Camille va benner la benne au bûcher, Louis va faire le plein d’essence à Didi. On repasse quand même prendre un vin chaud chez Richard.

Après-midi, Notre Dame de Sclessin appelle ses fidèles : donc, pas de Jean-Luc, pas de Maxime !

En fin de journée, on abat encore un sapin gênant en le faisant tomber en travers du chemin. On s’empresse de le débiter pour ne pas gêner trop longtemps la circulation puis on le charge. Puis on charge sur la remorque voiture les troncs et les rondins : une partie servira à la fabrication de l’échelle ou pour la structure du bûcher 2015 ; le reste, ce sera pour Camille qui se chauffe au bois.

Mais le soir tombe, on a tout juste fini.

Bennage, rangement du charroi, vin chaud bien mérité. A la semaine prochaine, à l’autre bout du village !

Compte-rendu 3 : samedi 11 janvier 2014

(Christine, Marc, Richard, Jean-Marie, Jonas, Camille, Jean-Luc, Maxime, Simon, Louis, Aurélien, Antonin)

Comme convenu, aujourd’hui, grand ramassage des sapins de Noël et des petites quantités.

Et comme il fallait s’y attendre, ce fut une petite (ou grande) histoire de remorques.

Il y avait là :.

– la benne Eugénie et son tracteur Sam (de Jean-Luc) ;

– la remorque Alu et sa Marie (de Jean-Marie) ;

– la remorque Sauterelle et le monospace Awe (l’une de Jean-Marie, l’autre de Marc) ;

– pour cause de désistement d’un chauffeur, la remorque Musicale (ou Chantante) (de Jean-Marie) avec la voiture Fog (de Louis) ont dû rester en plan sur le lieu du rendez-vous non sans arborer fièrement  le drapeau de la Corpo.

Outre ces convois , heu, qu’on voit souvent, deux plus petits modèles sont venus prêter mains fortes … ou plutôt roues fortes : il s’agit d’une toute petite remorque carrée tout juste conçue pour le transport de deux petits sapins (de Alain D.) attelée à la Rouche (de Camille). Mais la palme de la petitesse fut remportée par Claudine et sa petite charrette à deux roues conçue à l’origine pour être remorquée par un vélo ou une motorette. Et, malgré ses dimensions réduites, elle ne passe même pas par le sentier « Riga » !  Il a fallu la soulever à bras d’hommes et de femme pour la vider dans la remorque.  Encore une remorque !   Oui, cette remorque agricole à quatre roues (de Jean-Luc) était affrétée de l’autre côté du mur pour recevoir les petits branchages difficilement transportable autrement.

Petit concours : combien de roues ont roulé ce samedi 11 janvier au service de la Corpo ?

Quoiqu’il en soit, pour midi, Liernu était débarrassé de tous (?) ses vieux sapins de Noël et de bien d’autres choses ! y compris des fagots que Raymond avait fait faire à son petit-fils. Encore merci, Gérard, pour le pecket !

Après-midi, ce fut au tour de Saint-Germain. Comme il y a moins de maisons, on a même eu le temps de rendre visite à Marcel, lui offrir un petit cadeau et s’y désaltérer, comme c’est la tradition depuis de nombreuses années.

A la nuit tombée (elle tombe vite en cette saison !) petite soirée bière, fromage, charcuterie (merci Marc), chez Louis d’Aux Purnalîs.

Compte-rendu 2 : samedi 04 janvier 2014

(Christine, Marc, Richard, Jean-Marie, Jonas, Julien, Camille, Jean-Luc, Maxime, Simon, Louis)

Alors qu’il avait été prévu d’amener au bûcher, à l’aide du Ford et son chargeur frontal, le grand tas de bois se trouvant à 200 mètres du bûcher, on doit abandonner cette option, vu l’état très humide et boueux du terrain.

On décide donc de se concentrer sur les nombreux résineux, rue Basse-Baive, 39.

Tracteur et benne de Jean-Luc, tronçonneuses bien huilées et aiguisées, une très bonne équipe, une météo parfaite… tout cela entraîne une bonne ambiance et un travail efficace : avec Jonas qui grimpe comme un singe pour accrocher les cordes, les tronçonneuse qui ne se taisent pas une minutes et les chargeurs de branches et arrangeur de charrée qui transpirent des chemises, pour midi , quatre ou cinq grands sapins sont abattus, débranchés, débités et chargés.

A midi, pause, vin chaud traditionnel chez Richard et Jean-Marie.

Après-midi : rebelote, avec une équipe encore plus fournie. Jean-Luc et Maxime, qui ont quand même essayé avec le chargeur frontal et ont juste réussi à l’embourber, nous rejoignent, ainsi que Simon. On continue à couper et à charger la benne, jusqu’à en mettre autant au-dessus que dedans.

A 16 heures, on arrête : il faut corder la charrée, la conduire et la benner au bûcher avant qu’il fasse top sombre pour aller désembourber le Ford. Tout cela est fait et tandis qu’on range benne et tracteurs, une partie de l’équipe commence à entasser les branchages à la base du bûcher.

Il fait nuit lorsque l’on se retrouve (presque) tous chez Richard, aux vin chaud, bière, pain, fromages et saucissons excédents du nouvel an et …aux mots fléchés sur le thème : les céréales, avec Jean-Luc aux commandes !

Conclusion : très bonne journée. Et nous nous sommes attaqués à des arbres tels que je n’aurais jamais pensé oser le faire. MAIS …Jonas a travaillé avec le t-shirt qu’il venait de s’acheter la veille !!

Compte-rendu 1 : les préalables

Samedi 14 décembre 2013. Préparation du site, du sentier d’accès, redressage, astocage du mât encore debout, rescapé de l’an passé. En effet ce mât est jugé apte à encore servir cette année. Il n’y aura donc pas d’érection d’un nouveau mât. (Camille, Marc, Richard, Jean-Marie, Louis).

Mercredi 18 décembre. Placement de la clôture électrique (Nicole, Louis).

Samedi 27 décembre. (Camille, Marc, Christine, Laurent, Louis, Richard, Jean-Marie, Jean-Luc, Louis) Au matin : Abattage, rue Basse-Baive, de quelques sapins pour prélèvement de 6 matons, 6 poussards et le bras manquant du trépied. Vin chaud de Christine à midi.

Après-midi : Placement de ces éléments. Structure terminée, prête à recevoir le combustible.

Au soir : Souper de la Corporation, chez l’Pet à Aische-en-Refail.

Remerciements, bilan

Bonjour à tous,

L’État-major et les membres de la Corporation du Grand Feu de Liernu se réjouissent du bon déroulement général de la cuvée 2013 de leur Grand Feu : le bûcher était prêt à temps et avait, somme toute, bonne prestance. A part quelques kwaks au moment fatidique du cérémonial, chacun a bien rempli sa tâche; presque tous les animateurs et groupes extérieurs ont bien animé nos cortèges; les invités et le nombreux public se sont bien amusés, ont bien mangé et bien bu et étaient donc satisfaits ; et, SURTOUT, le « Blanc »  a bien brûlé, bien et vite, dans une terrible pétarade finale et a cédé sa place au Printemps.

M’enfin, comme aurait dit un célèbre Gaston, on ne peut passer sous silence, qu’au moment estimé par nous comme le plus essentiel  et le plus spécifique de notre Grand Feu, le technicien de l’organisme sensé installer et diriger la sonorisation extérieure, faisait défaut car « ne se sentant pas très bien » ; situation heureusement, en partie, sauvée par nos bénévoles qui ont dû bricoler un matériel inconnu pour eux et, pour cela, quitter leur poste.

Et puis, lorsque dans son discours, notre Capitaine-Président crie « Tambours » et qu’aucun son ne résonne, c’est une dimension importante de notre scénario qui est sabotée : mais où était donc passée la Compagnie Grouchy chargée  d’assurer cette prestation ? A l’heure actuelle, nul ne le sait encore.

Mais, mis à part ces regrettables incidents, nous tenons à remercier chaleureusement, tous nos membres, tous nos sympathisants, tous nos bénévoles, pour le travail accompli, faisant abstraction parfois de leur état de santé: pour la construction du bûcher, et ce par tous les temps, pour le garnissage du char et la fabrication du « Blanc », pour le nettoyage des costumes, pour le placement des panneaux publicitaires et indicatifs, pour les démarches, la confection et la distribution du carnet publicitaire, pour les préparatifs immédiats de la fête, pour la tenue des différents stands et activités: gestion et distribution des denrées et matériel, installation de la salle, de l’éclairage, concours de déguisements, montage et conduite du projecteur de poursuite, du matériel sono, commentaire du cortège et du cérémonial, confection et vente des tickets, cuisine (repas, crêpes, cacao), distribution en salle et en cortège, bar intérieur, bar extérieur, barbecue, pour la rédaction et la lecture du discours, pour la tenue impeccable pendant les cortèges et le cérémonial, pour le transport et l’ascension du « Blanc », pour les tentatives de libération de ce même « Blanc » et, pourquoi pas, pour l’aspersion des huiles et disposition de la paille au bûcher. Et puis encore, pour le nettoyage et la remise en état de la salle, le nettoyage du site et des alentours,…

Une mention particulière cette année encore pour la participation d’éléments jeunes à pratiquement toutes les étapes : bûcher, « Blanc », cortèges, tenue des bars, nettoyage de la salle et, surtout, attaque du cortège par les diables, diablesses et autres sorcières.

Nos remerciements vont aussi aux invités et groupes extérieurs qui nous ont rejoints, l’espace d’un après-midi et d’une soirée :

  • la police et les pompiers d’Eghezée,
  • la Confrérie du Gros-Chêne,
  • la Compagnie des Brandons,
  • les représentants du C.R.A.C. de Creney en Champagne,
  • le Comité du Grand Feu et les Pierrots d’Aische-en-Refail,
  • les Chevaliers d’Emines, avec Fashoom ,
  • la Confrérie du Grand Feu de Lonzée à qui nous irons prêter main-forte prochainement,
  • les Fieus d’fiesse de Saint-Germain,
  • les Géants de Perwez que nous retrouverons lors de leur Carnaval,
  • le Géant de Liernu qui a parcouru tout le trajet sans faiblir,
  • le détachement de l’Armée Grouchy, malgré sa défection prématurée,
  • la sono Markus,
  • et enfin tout le public bigarré qui se mêlait au cortège.

Merci aussi aux donateurs de combustibles, paille, bois, huiles chez qui nous avons été si bien reçus  (nous regrettons de ne pas avoir pu mener à bien tous les chantiers prévus).

Et à tous ceux nous ont prêté du matériel : tracteurs, remorques, plateaux, projecteurs de poursuite, …

Egalement, à tous les indépendants ou organisations qui nous ont fait confiance en insérant leur annonce dans notre carnet publicitaire.

A toutes et à tous, et à ceux que nous oublions, MERCI !

L’État-major :

Jean-Luc Dewez,                Camille Grède,                  Louis Grède,
Capitaine-Président.            Lieutenant-Secrétaire.      Lieutenant-Trésorier.

Compte-rendu 9 : samedi 9 février 2013

Au matin : Nicole, Christine, Marc, Camille, Jean-Marie, Louis, Jean-Luc (tardivement).
Profitant du (faible) gel du sol, nous rapatrions deux plateaux prêtés l’un par Laurent Gomand, l’autre par Laurent Depireux.. Pour en rapatrier un troisième, vers midi, le sol est déjà trop dégelé.
Pendant ce temps, une autre équipe fabrique l’échelle, au sol : deux troncs d’environ 7 mètres rattachés par une trentaine d’échelons de bois brut, cela n’est pas une mince affaire à redresser contre le bûcher. Nous nous aidons d’une poulie accrochée en haut du mât et d’une échelle pour permettre des pauses comme pour l’érection du mât et nous y arrivons ! Il reste à fixer l’échelle aux palettes qui sous l’effet du tassement du reste du bûcher, sont à redresser quelque peu.

Mais, il est 13 heures et les cloches ont déjà sonné un rappel !
Vin chaud donc et essayage de cagoule, pour Memed,

Après-midi, encore une fois, changement de décor !
Départ à 15h.30, pour Aische-en-Refail : chauffeur : Camille ; bourreaux : Marc, Memed, Nicole, Louis ; porte drapeau : Jean-Marie ; Christine est le « Blanc ». Jean-Luc, empêché nous rejoindra plus tard…
Participation au cortège (départ 17h.30) avec : Tambours d’Aiche-en-Refail, Pierrots, Pierrot le Grand, la sorcière, Marcheurs « Saint-Eloi » de Vedrin, Gilles de Namur, Mounieus d’couke de Dinant , Cheval Bayard et Géants, le Géant de Liernu.
19h.30 : Cortège aux flambeaux vers le bûcher, rondeau autour du bûcher, feu d’artifice, brûlage du Gille, mise à feu du bûcher.
Temps plutôt glacial mais ambiance réchauffante.

Compte-rendu 8 : samedi 02 et dimanche 03 février

Samedi 2 février : Nicole, Christine, Richard, Jean-Marie, Emile, Simon , Maxime, Louis, Camille, Jonas, Samuel, Jean-Luc, Marc, Didier ; Manon et Marine au vin chaud de midi.
( n.b. dans la semaine qui précède, le char de la Corpo a été consolidé, rafistolé, rhabillé de nouvelles branches, paré d’un nouveau panneau pour le devant du tracteur (Louis, Nicole).
Ce samedi, on commence par amener au bûcher quelques palettes prises chez moi et chez Jean-Luc.
Nous déchargeons ensuite la ½ charrée qui n’avait pas pu être achevée samedi passé, les branchages étant gelés et ne formant qu’un bloc. Le dégel, aujourd’hui, facilite le travail.
En même temps, un habitant de Saint-Germain nous apporte des branches de sapin, par-dessus le mur d’où l’on peut facilement  les descendre jusqu’au bûcher, grâce à la superbe nouvelle charrette à bras de Marc. Pour midi, la plus grande partie de tout cela est sur le bûcher.

Après-midi, une équipe achève de monter les branchages restants tandis que Emile et Maxime vont chercher à Mehaigne le grand sapin de Noël de 4 mètres, tant attendu. Celui-ci est aussitôt hissé sur le bûcher et fixé à l’aide de cordes au mat central, ce qui, d’un coup, fait grandir notre bûcher de 3 mètres !
Comme convenu, nous fixons ensuite au sommet, devant le mât, une série de palettes, empilées et solidement attachées : c’est sur cet empilement que viendra se poser le « Blanc », pour y brûler. Nous entourons enfin tout cela de sapins de Noël pour dissimuler les palettes et parfaire le « nid » de notre condamné. Nous disposons ce qu’il reste de sapins et de petits branchages au pied du bûcher et celui-ci est  fin prêt.
Un petit pecket bien mérité près du brasero : il ne fait pas encore nuit et un peu de neige se met à tomber …
Il nous reste juste à fabriquer l’échelle en rondins et la fixer au bûcher. Mais ce sera pour la semaine prochaine.

Dimanche 3 février : Avec notre char, au Carnaval du Dragon à Emines. En bourreaux : Nicole, Marc, Richard, Louis ; Christine fait le « Blanc » ; porte-drapeau : Jean-Marie ; chauffeur : Camille. Y’en a même qui disent qu’ils ont vu Jean-Luc !
On regrette quand même que l’équipe des bourreaux n’ait pas été plus fournie. Espérons qu’on se rattrapera à Aische-en-Refail.
Première ambiance « Grand Feu » de la saison ! Tambours, fifres et coups de semonces des différents régiments ; trompettes, clairons, tambourins et autres de la « Lyre de Barvaux » ; musiques modernes de tous poils des chars sonorisés, couleurs chatoyantes des chars et des costumes historiques ou loufoques ! Pecket, bière, hot-dogs, saucisses, boudins. Chevaliers moyenâgeux côtoyant gentes dames de toutes époques et militaires multicolores des XVIII et XIX siècles. Et enfin dragon même pas mûr, crachant son venin de feu et probablement égaré chez nous, venu d’Ecosse ou d’ailleurs.
Et puis ambiance folle mais bon enfant générée par ces mêmes Chevaliers au Dragon à leur troisième jour de prestation et de guindaille. Sans oublier la part belle laissée aux enfants et écoliers, futurs Chevaliers sans doute, comme leurs papas ou gentes dames comme leurs mamans.
A la nuit tombée, spectacle des écoliers avec son et pyrotechnie. Puis la pyrotechnie des grands : un vrai feu d’artifice, tiré derrière le bûcher des Chevaliers, le faisant se dessiner en une masse svelte et sombre : c’est que, cette année, ils l’ont voulu comme un donjon, de base carrée et d’une hauteur impressionnante ! Un peu fragile quand même puisque, quand il se fut enflammé sous les coups des flèches brûlantes  et surtout de l’haleine du Dragon, il s’effondra sur son flanc ouest sous les cris des spectateurs. Cest pas encore lui qui fera revenir le printemps !
Cette belle journée nous a permis, en tout cas, de retrouver de vieux compagnons d’armes et « frères dans le Grand Feu » que nous accueillerons chez nous le 16 février prochain ou qui nous accueilleront chez eux, d’ici la mi-mars.

Compte-rendu 7 : samedi 26 janvier 2013

Au matin, une équipe continue de décharger les charrées au bûcher. Il faut faire appel au Ford et son chargeur frontal pour soulever et laisser retomber les masses de branchages gelés et tenter ainsi de les disloquer.
Pendant ce temps, Simon (avec sa Volvo240 et une remorque de Jean-Marie), Samuel et Jonas transportent deux charrées de branches de sapin du n° 90 de la route de Perwez vers chez moi; elles serviront à en rhabiller le char.

A midi, traditionnel vin chaud chez Richard et Jean-Marie.

Après-midi, Samuel, Jonas et Christine prennent la relève de Simon, avec mon Opel et déversent les branches par-dessus le mur, que récupère Jean-Luc avec le Ford pour les amener  au bûcher.
L’équipe au bûcher, continue son harassant travail de déchargement des branches gelées mais décide d’abandonner la dernière charrée pourvue de ridelles et donc impossible d’accès pour le Ford. Et son chargeur.

En début de soirée, s’amènent les Chevaliers d’Emines, venus nous inviter à leur « Carnaval du Dragon ». On achève le vin chaud, une ou deux bouteilles «made in Emines», … On reporte au samedi suivant la prise du grand sapin de Noël à Mehaigne.

Grand Feu de Liernu 2013

Affiche 2013

Page de l’événement sur Facebook

PROGRAMME :

  • 14 heures 30 : formation du cortège (Promenade du « Blanc»), place de l’église,
    Avec, dans l’ordre :
    • bourreaux et char de la Corporation du Grand Feu,
    • C.R.A.C. de Creney, en Champagne,
    • Marche Saint-Eloi de Vedrin,
    • Confrérie du Gros Chêne,
    • Chevaliers d’Emines, leur Dragon et leur Géant,
    • Fieus d’fiesse de Saint-Germain,
    • Comité du Grand Feu d’Aische-en-Refail, les Pierrots et Pierrot le Grand,
    • Géant Toche de Liernu,
    • Géants de Perwez,
    • Public.
  • 15 heures : départ du cortège, par : rue du Gros-Chêne, route de Perwez, rues de la Blanchisserie, de la Siroperie, de la Maladrie, des Trieux, route de Perwez ; dislocation : ferme de la Cour.
  • Suivi de : goûter des enfants, salle Saint-Jean-Baptiste ; concours de déguisements.
  • 19 heures 30 : rassemblement des participants au cortège du soir, ferme de la Cour.
  • 20 heures :
    • départ du cortège aux flambeaux à partir de la ferme de la Cour,
    • attaque des défenseurs du « Blanc » : diables et sorcières.
    • disposition des groupes devant le bûcher,
    • lecture de la condamnation du « Blanc »,
    • pendaison du « Blanc » et mise à feu du bûcher.
  • 21 heures : soirée « Grand Feu » : bar, restauration : soupe à l’oignon, barbecue, hot-dogs, nems, vin chaud, pecket, …

QU’ON SE LE DISE !

Compte-rendu 6 : mardi 15 et samedi 19 janvier 2013

Mardi 15 janvier, après-midi : avec : Nicole, Jean-Luc, Louis : profitant du fait que le sol est gelé (et enneigé), on décide de placer quelques charrées près de l’endroit du futur bûcher, prêtes à être déchargées : les deux plateaux de samedi passé, ainsi que la benne (déchargée au sol grâce au chargeur frontal (Ford) , puis chargement porté au bûcher de la même façon). Puis le plateau du 15 décembre et celui du  06 décembre, placés culs au bûcher. Remorque du 05 janvier placée à proximité.
Le tout sous une tempête de neige ! D’jeu qu’dja yu frès mes pids !

Samedi 19 janvier, au matin : avec : Nicole, Louis, Camille, Richard, Jean-Marie, Marc, Samuel, Jonas ; Jean-Luc et Maxime en fin de matinée. On regrette l’absence du trio  Simon, Brandon, Baptiste, pourtant prévu.
Enfin, on travaille vraiment au bûcher : températures négatives, neige gelée : on apporte un brasero pour se réchauffer les mains aux petites pauses. Déchargement des deux plateaux de grandes branches de feuillus puis on s’attaque à un plateau de sapins.

Pause de midi : vin chaud de Manon, apporté par Simon, chez Richard et Jean-Marie.
On procède à un essayage par les gens présents de prototypes de nos futures vestes coupe-vent à l’effigie de la Corpo : parmi les 25 ou 30 pièces que l’on va commander, il faut déterminer, approximativement combien de modèles de chaque taille sont nécessaires. On  mettra définitivement la commande au point lors de la prochaine réunion, le 23 janvier  prochain.

Après-midi : avec les mêmes, sauf Jonas, Jean-Luc, Maxime.
On amène au bûcher, avec un des plateaux vides les branchages encore au mur. On évacue les trois plateaux vides, on place contre le bûcher la remorque du 05 janvier et l’épandeur resté à la E411. On décharge ce dernier et une partie des autres chargements : tâche ardue et lente car chaque branchage est gelé et doit être extrait péniblement de la masse. Enfin l’épandeur est rapatrié chez Marc. Le soir tombe. On est satisfait du travail et content de se réchauffer chez Richard. Le bûche accuse pour l’instant une hauteur d’environ 2,50 mètres mais il va probablement se tasser.
Ah oui, j’allais oublié : c’est pendant la pause de midi que le Capitaine-Président est devenu grand-père : Pablo et sa maman se portent bien !