Alice au pays des merveilles, 1er bilan

54, c’est le nombre de personnes qui ont permis que cette Saint-Jean soit un succès.  Il s’agit de :

  • 31 membres de la Corpo et sympathisants : Coco, Caro, Richard, Jean-Pierre, Vincent, Lory, Choupet, Simon, Baptiste, Brandon, Christine, Coraline, Margaux, Marc, Jean-Luc, Didier, Titi, Sau, Loyse, Victoria, Constance, Nico, Val, Louis, Nicole, Séba, Memed, Virginie, André, Nicole, Camille.
  • 10 propriétaires de terrains empruntés : Mesdames et Messieurs Marchal, Becker, Debouche, Adriaenssens, Paquet, Raucent, Ippersiel, Roger, Lehmann, Blerot.
  • 13 sponsors : COLRUYT, MAREDSOUS, LOTPIN, BELOEIL, BOIS DU CAZIER, BOUILLON, CHEMIN DE FER A VAPEUR DES TROIS VALLEES, LA DEMOISELLE AU PETIT POIS, PALAIS DES THES, SPW, LOVELY SINS, ARCHEOSCOPE de LIEGE, MUSEE DE LA CERAMIQUE A ANDENNE.

Le nombre de personnes inscrites au rallye était de 84 personnes réparties en 17 groupes.

Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii (avec 138 « i » : 54 + 84) !

La Corpo en Champagne

Dimanche dernier, 6 avril, une délégation (importante puisqu’elle comportait, entre autres, l’Etat-Major au grand complet) de la Corporation du Grand Feu de Liernu se trouvait à Creney près Troyes, en Champagne pour y participer au 30ème Carnaval du C.R.A.C.(Carnaval Recherche Animation Creney).

C’est la cinquième fois en 10 ans qu’elle effectue ce déplacement, à raison d’une année sur deux ; l’autre année, c’est elle qui reçoit à Liernu les valeureux fêtards de Creney.

C’est sous un soleil radieux et une température très clémente pour la saison que c’est mis en branle l’imposant cortège des chars et des fanfares du plus beau carnaval traditionnel de l’Aube, dirigé par la Confrérie du C.R.A.C. et animé de groupements venus du Nord de la France et de Belgique.

Notre Corpo assurait dignement (parfois !) l’escorte de « Fétide Cageot », la victime expiatoire de cette année (il s’agit, paraît-il, de l’anagramme d’un personnage réel, public, peu aimé et qui adore se montrer en public dans des situations parfois scabreuses).

Arrivés au terme du cortège, c’est encore nous (non mais, qu’est-ce qu’ils font quand on n’est pas là ?) qui avons eu l’honneur d’y bouter le feu. Il s’en est allé dans une impressionnante pétarade.

L’année prochaine, c’est Liernu qui recevra les amis du C.R.A C. de Creney près Troyes en Champagne. Ils viendront, à leur tour, avec d’autres, bouter le feu à notre bûcher et notre « Blanc » pour que renaisse le printemps !

Dès à présent, préparons-nous à leur réserver bon accueil !

Compte-rendu 11. Remerciements

Salut à tous,

L’État-major et les membres de la Corporation du Grand Feu de Liernu se réjouissent du bon déroulement général de la cuvée 2014 de leur Grand Feu, placée indubitablement sous le signe du printemps, sans que nous l’ayons demandé. On s’est même à certains moments demandé si « brûler l’hiver » avait encore un sens, cette année !

Quoiqu’il en soit,  le bûcher était prêt à temps et avait, somme toute, bonne prestance, chacun a bien rempli sa tâche; tous les animateurs et groupes extérieurs ont bien animé nos cortèges; les invités et le nombreux public se sont bien amusés, ont bien mangé et bien bu et étaient donc satisfaits ; et, SURTOUT, le « Blanc »  a bien brûlé, bien et vite, comme pour s’excuser d’être quand même là !.

Nous tenons à remercier chaleureusement, tous nos membres, tous nos sympathisants, tous nos bénévoles, pour le travail accompli : pour la construction du bûcher, pour le garnissage des chars et la fabrication du « Blanc », pour le nettoyage des costumes, pour le placement des panneaux publicitaires et indicatifs, pour les démarches, la confection et la distribution du carnet publicitaire, pour les préparatifs immédiats de la fête, pour la tenue des différents stands et activités: gestion et distribution des denrées et matériel, installation de la salle, de l’éclairage, concours de déguisements, montage et conduite du projecteur de poursuite, du matériel sono, commentaire du cortège et du cérémonial, confection et vente des tickets, cuisine (repas, crêpes, cacao), distribution en salle et en cortège, bar intérieur, bar extérieur, barbecue, pour la rédaction et la lecture du discours, pour la tenue impeccable pendant les cortèges et le cérémonial, pour le transport et l’ascension du « Blanc », pour les tentatives de libération de ce même « Blanc » et, pourquoi pas, pour l’aspersion des huiles et disposition de la paille au bûcher. Et puis encore, pour le nettoyage et la remise en état de la salle, le nettoyage du site et des alentours,…

Une mention particulière cette année encore pour la participation d’éléments jeunes à pratiquement toutes les étapes : bûcher, « Blanc », cortèges, tenue des bars, nettoyage de la salle et, surtout, attaque du cortège par les diables, diablesses et autres sorcières.

Nos remerciements vont aussi aux invités et groupes extérieurs qui nous ont rejoints, l’espace d’un après-midi et d’une soirée :

  • la police et les pompiers d’Eghezée,
  • la Confrérie du Gros-Chêne,
  • la Compagnie des Brandons,
  • le Comité du Grand Feu et les Pierrots d’Aische-en-Refail,
  • les Chevaliers d’Emines, avec Fashoom ,
  • les Fieus d’fiesse de Saint-Germain,
  • les Géants de Perwez que nous retrouverons lors de leur Carnaval,
  • le Géant de Liernu qui a parcouru tout le trajet sans faiblir,
  • les scouts de Jonas,
  • la sono Markus,
  • et enfin tout le public bigarré qui se mêlait au cortège.

Merci aussi aux donateurs de combustibles, paille, bois, huiles chez qui nous avons été si bien reçus  (nous regrettons de ne pas avoir pu mener à bien tous les chantiers prévus).

Et à tous ceux nous ont prêté du matériel : tracteurs, remorques, plateaux, projecteurs de poursuite, …

Également, à tous les indépendants ou organisations qui nous ont fait confiance en insérant leur annonce dans notre carnet publicitaire ; et à notre très généreux sponsor qui s’est chargé de son impression.

A toutes et à tous, et à ceux que nous oublions, MERCI !  … et, à l’année prochaine !

L’État-major :

Jean-Luc Dewez,
Capitaine-Président.

Camille Grède,
Lieutenant-Secrétaire.

Louis Grède,
Lieutenant-Trésorier.

Compte-rendu 10 : samedi 01 mars 2014

Au matin, au bûcher.
(Christine, Colombine, Camille, Richard, Marc, Simon, Maxime, Louis)

En semaine, l’échelle a été commencée : il reste les ¾ des échelons à fixer. Les remorques vides ont été rapatriées chez leurs propriétaires respectifs. (Simon, Brandon, Louis).

Raymond et Mathieu amènent une charrée de petits fagots.

L’échelle est achevée. A l’aide d’une poulie fixée au mât central, elle est dressée contre le bûcher, les uns poussant, les autres tirant, de l’autre côté du bûcher.

Ensuite, le sommet est aménagé : fixation d’une palette au mât central et à l’échelle, fixation de quelques sapins derrière celle-ci, complétant le « nid » destiné à recevoir le « Blanc ».

Pendant ce temps, le terrain est nettoyé et le bûcher quelque peu « toiletté ».

Il est bien 13h30 quant tout cela est fini. Pause près du brasero.

Après-midi, au Grand Feu d’Aische-en-refail.
(Christine, Camille, Louis, Richard, Marc, Maxime, Jean-Luc)

On retrouve nos « cousins » d’Aische et les autres d’Emines, Perwez, Vedrin, Lonzée, …

Cortège dans les rues, puis aux flambeaux, feu d’artifice, mise à feu du bûcher et brûlage de la sorcière. Puis restauration bien arrosée et soirée aux « Calbassîs ».

Pour certain, fin de soirée sur une chaise, dans les bras de Morphée…

Compte-rendu 9 : samedi 22 février 2014

(Christine, Marc, Vlad, Richard, Camille, Louis, Max, Colombine, Lory, Jean-Luc, Samuel. Jonas, Mathieu et trois scouts en visite en fin de journée)

Les trois charrées encore en attente au non-rond-point ont été acheminées au bûcher durant la semaine et placées sur trois côtés de l’hexagone. La remorque métallique de Pierre, chargée en partie de palettes et de vieux déchets de bois a été conduite chez Louis. Les déchets ont été déchargés chez lui (pour le petit bûcher traditionnel).

Comme on est assez nombreux le matin, on entame, en deux équipes, les deux grosses charrées. Cela marche bien mais on n’a quand même pas fini pour midi.

A midi, pause vin chaud chez Richard et Jean-Marie.

Après-midi, la remorque métallique est amenée sur la Place et déchargée de ses palettes qui serviront de reposoir pour le « Blanc », le temps de sa condamnation.

Puis, on achève de décharger les deux grosses remorques et on entame la petite placée à l’arrière de bûcher.

Et pendant ce temps-là, le bûcher monte, se rétrécit quelque peu et monte, monte, … on arrive bientôt presqu’au sommet du mât central et les jeunes repiquent contre lui une perche de 2 ou 3 mètres pour l’allonger.

Vers 18 heures, le bûcher est déclaré assez haut et « terminé ». Pause !

La petite remorque n’est pas vide mais on brûlera le contenu restant après le Grand Feu.

Le combustible restant :

  • Une trentaine de fagots de Mathieu (chez Raymond) seront acheminés durant la semaine de carnaval et répartis autour du bûcher,
  • Le reste de branchages chez Jacques sera brûlé, probablement chez Louis, après le Grand Feu,
  • Chez Tibaud, s’il le désire, le reste de branchages sera brûlé sur place et le reste des rondins emportés et répartis entre les membres qui les veulent.
  • Le tas de branchages de Jean-Luc sera brûlé sur le site, après le Grand Feu.

Pour le bûcher, il reste à :

  • Fabriquer l’échelle et la dresser,
  • Aménager le sommet pour y recevoir le « Blanc » et le garnir de sapins.

Compte-rendu 8 : samedi 15 février 2014

(Richard, Louis, Camille, Marc, Jean-Luc)

Le jour des vieux ! les jeunes étant, me dit-on, en retraite : mystique pour les uns, éthylique pour d’autres, bretonne même ; ou tout simplement dans les bras de Morphée !

Temps idéal cependant : pas de pluie, peu de vent, bonne température.

En semaine, la fameuse « remorque au froment » a été placée, vide, le long du mur, vers la Place, en vue de recevoir, éventuellement, par-dessus-le mur, le contenu des remorques chargées, (tout en espérant ne pas devoir en arriver là !). La benne, elle, a été déchargée près du bûcher, malgré le terrain peu praticable.

Le matin, à deux puis à trois,  on bourre au pied du bûcher les restes du chargement de la remorque précitée.

L’après-midi (on est 5) on amène au bûcher une des quatre charrées en attente au « non-rond-point », que l’on décharge sur le bûcher. Puis on monte également sur le bûcher le contenu de la benne qui a été déchargée au sol.

En fin de journée, on a quand même nettoyé le terrain et monté au bûcher le contenu de la benne et d’une remorque ! Pas si mal pour les 5 « vieux » !

Pour les 3 autres remorques, on attendra encore quelques jours, la météo étant plutôt clémente pour l’avenir immédiat. Elles seront placées et prêtes à être déchargées pour samedi prochain.

Compte-rendu 7 : samedi 08 et dimanche 09 février 2014

Samedi 08

(Christine, Camille, Richard, Arno, Pascal, Simon, Marc, Louis)

On consacre cette journée à l’ancienne propriété de Vinciane, rue Basse-Baive, 37 et 39, où il reste quatre sapins costauds à abattre dont un araucaria (désespoir des singes).

Pascal vient nous prêter main forte avec son expérience et une tronçonneuse plus adaptée, ainsi que Arno. A eux deux, ils mettent au sol les quatre mastodontes,  à nous de les ébrancher et charger sur un plateau emprunté à Laurent G.

Les troncs sont débités, en grande partie par Arno qui viendra achever le travail dimanche matin. Les rondins seront distribués aux amateurs.

Quand le soir tombe, la remorque est chargée à bloc et … va rejoindre les 5 autres charrées qui attendent une meteo plus clémente (plus  de sécheresse ou du gel) pour être conduites au pied du bûcher.

Mais combien de temps faudra-il encore attendre ? Ne faudra-il pas faire fi des conditions atmosphériques et de l’état du terrain et Y ALLER ? C’est à ce prix, cela est de plus en plus évident, que pourra être achevé notre bûcher.

Dimanche 09

(Christine, Sophie L., Sophie G., Camille, Richard, Simon, Brandon, Baptiste, Timothée, Louis).

Emines , Carnaval du Dragon, voir la presse.

On y retrouve nos vieux compagnons, en particulier les Chevaliers d’Emines et nos cousins, les Pierrots d’ Aische-en-Refail. Tient, ils ont recruté un déserteur (?) de Vedrin.

Très beaux cortège, captivant spectacle des Orryflammes, feu d’artifice parfait et, enfin, grands feux (un pour les grands, un pour les petits) très réussis.

Des contacts sont pris en vue de l’animation de nos cortèges et Grand Feu à nous, le samedi 08 mars prochain.

Espérons que, d’ici là, notre bûcher sera terminé !

Compte-rendu 6 : samedi 01 février 2014

(Christine, Camille, Richard, Louis, Jonas, Samuel, Tom, Timothée, Sophie, Passage de Jean-Luc et Max à midi et pour photo : N.D. de Sclessin de plus en plus exigeante !)

Travail au bûcher, ce samedi.

Plutôt décevant le matin : pluie intermittente, donc très peu de participants : 4 !

Le brasero apporté a peine à démarrer : le bois n’est pas sec, l’huile de vidange n’en est pas vraiment. Finalement avec la graisse à frite de Richard et un peu d’essence (2 temps) des tronçonneuses, il ne s’éteint plus. Quant à dire qu’il réchauffe !

Finalement, c’est encore en travaillant qu’on se réchauffe le mieux et, quand les cloches sonnent la pause de midi, on a quand même, à nous quatre, pas mal avancé.

Le vin chaud de Jean-Marie est le bienvenu après cette matinée de grisaille (tiens, là nous ne sommes plus 4 , mais 7 !!)

L’après-midi est heureusement plus clément : plus de pluie, 5 personnes en plus, le brasero brûle très bien ; trop bien pour mes gants qui se mettent à cramer !

Quand le soir tombe, le site est nettoyé (sauf le fond de la remorque qui est sur place) et le bûcher accuse une hauteur de 2,50 à 3 mètres.

Espérons que pour samedi prochain la météo nous aura permis d’acheminer les 5 charrées en attente.

Compte-rendu 5 : samedi 25 janvier 2014

(Vincent et épouse, Didier, Jacques, Christine, Camille, Richard, Louis, Simon, Marc, Jonas, Jean-Benoît, Etienne, Charly, Jean-Luc, Max, …)

Équipe très fournie aujourd’hui, la moyenne d’âge chute brusquement !

On commence chez Vincent, aux Trieux : une haie déjà coupée. Le plateau de Laurent est chargé en moins de ¾ d’heure; Mais il en reste : il faut dire qu’il y a des castars, parfois même encore avec les fils de la clôture.

Petite pause aux frais de Vincent (merci Vincent), puis le plateau chargé est conduit au non-rond-point.

Un deuxième plateau est prélevé chez Pierre et amené chez Didier où il est rempli à moitié. Comme convenu, Didier nous reçoit chaleureusement avec pizzas, quiches, soupe, bière, vin. (merci  Didier).

Puis on complète ce plateau chez Vincent. Pendant ce temps, un troisième plateau est amené de chez Paul, à Upigny. On le charge de sapins anciennement chez Berta, route de Perwez. Petite pause (merci les gars). Puis ces deux plateaux sont amenés au non-rond-point et … il reste du temps !

On prend donc la benne de Jean-Luc en espérant pouvoir la décharger dans le courant de la semaine. Et on va charger des têtes de sapins chez Jacques, à la Baive.

La benne est pleine lorsqu’il commence à faire sombre. Pause avec Jacques (merci Jacques).

Puis on rentre, rangement du matériel ; pause chez Richard et Jean-Marie. Tiens ! ceux d’Emines se sont décommandés.

Merci à tous, surtout aux jeunes pour cette belle journée de travail ! et aux prêteurs de matériel.

Puis, si je me souviens bien, pause chez Jean-Luc et Martine. Puis …vol au vent ; (merci) tiens, pas de frites ! délicieux quand même.